Le fabricant chinois de modules bifaciaux a mis en service une usine de cellules TOPCon de 1,5 GW dans la province chinoise de Zhejiang, ce qui porte sa capacité totale de cellules TOPCon à 3,6 GW. Une autre installation de 16 GW est prévue dans la province du Shanxi.
Au quatrième trimestre, Eco Green Energy a observé une baisse du prix des panneaux photovoltaïques. Cela influence grandement l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement photovoltaïque et le comportement du marché dans son ensemble.
L’objectif de cette co-entreprise baptisée PSS Amarenco & Co est de mettre en service 500 MWc dans le pays au cours des trois à cinq prochaines années.
Par ailleurs, le fabricant de polysilicium Daqo va augmenter ses investissements dans le cadre de ses plans d’expansion des capacités et Canadian Solar a conclu un accord de coopération stratégique avec le géant des batteries CATL.
L’installation de 41 MW a été construite par le promoteur coréen Scotra avec des modules solaires fournis par le fabricant sud-coréen Hanwha Q-Cells. Elle a été déployée sur un réservoir d’eau du barrage de Hapcheon, dans la province du Gyeongsang du Sud.
Le géant indien prévoit d’investir 30 millions de roupies indiennes (environ 360 000 euros) dans cette nouvelle usine.
Le projet Antípodas a été annoncé par le gouvernement chilien la semaine dernière. Il vise à tirer parti de l’énorme potentiel solaire du désert d’Atacama, qui est la région du monde où le rayonnement solaire est le plus élevé.
Lancé en juillet 2021, le projet solaire de Nam Theun 2, co-développé par EDF, vise à installer 240 MW de panneaux PV sur le réservoir hydroélectrique d’une centrale de 1,08 GW dans la province centrale de Khammouane au Laos. Les travaux devraient débuter en 2022 pour un démarrage de l’exploitation en 2024. Innosea, une société française d’ingénierie et de conseil spécialisée sur les énergies marines renouvelables a rejoint le consortium en tant que conseiller technique.
La cellule de 4 cm2 a affiché une tension en circuit ouvert remarquable de 754 mV. Elle a été fabriquée à partir d’une couche de silicium nanocristallin hydrogéné (nc-Si:H), qui présenterait une absorption parasite moindre et un rendement quantique externe plus élevé.
L’opération, qui a été effectuée auprès du développeur chinois Risen Energy, vise à consolider la présence de l’IPP français en Asie Pacifique, afin de profiter du potentiel de croissance de la région dans les énergies renouvelables.
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