TP Solar Ltd, la filiale de Tata Power, a commencé la production commerciale de cellules solaires avec une capacité initiale de 2 GW, avant de monter progressivement en échelle.
A ce jour, 29 entreprises – développeurs solaires et grands donneurs d’ordres – ont signé le pacte solaire présenté le 5 avril. A ce titre, elles s’engagent à acheter à partir de 2025 au minimum 30 % de panneaux photovoltaïques auprès de fabricants ayant réalisé une ou plusieurs étapes de production en Europe. Ces produits seront identifiés par un « InduScore », semblable au Nutriscore de l’agroalimentaire.
Rejoignant l’idée allemande d’une prime de résilience destinée à soutenir l’installation de modules fabriqués en Europe, le président de KiloWattSol estime que le modèle de la note carbone a atteint ses limites et que le marché européen « doit assumer une forme de protectionnisme, au nom de la souveraineté industrielle » sous peine de se laisser distancer dans un secteur énergétique stratégique.
D’après certains scientifiques de l’Université Cornell, relocaliser la fabrication de panneaux PV en silicium cristallin aux États-Unis d’ici à 2035 permettrait de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 30 % et la consommation énergétique de 13 % par rapport aux niveaux de 2020.
FuturaSun, fabricant italien de panneaux solaires, a acquis un terrain pour sa nouvelle usine de modules solaires de 2 GW dans une zone industrielle près de Padoue, en Italie.
Le projet de proposition, auquel pv magazine a eu accès, exige également que 85 % des composants utilisés dans les parcs éoliens européens – ainsi que 60 % des pompes à chaleur, 85 % des batteries et 85 % des électrolyseurs – soient fabriqués localement.
Le fabricant de photovoltaïque veut passer à des processus de production et de logistique plus légers. Il prévoit en outre une plateforme de produits unique pour les futurs modules solaires. Cependant, la transformation et les problèmes de la chaîne d’approvisionnement retardent actuellement le démarrage de la troisième ligne de modules à Freiberg, ce qui explique que le volume de production initialement prévu pour cette année ne sera pas atteint.
A Carquefou (44), Systovi a inauguré une nouvelle ligne pour atteindre 100 000 unités par an. L’arrivée d’un nouveau laminateur en août prochain permettra de passer à 200 000 unités/an. pv magazine France s’est entretenu avec Paul Toulouse, son directeur général, pour parler concurrence chinoise et des conditions à réunir pour relocaliser la production de panneaux solaires en France.
D’après un rapport de Wood Mackenzie, le crédit à la fabrication avancée (advanced manufacturing production credit – AMPC) ainsi que les prescriptions relatives aux composants d’origine nationale (domestic content requirement – DCR) sont des éléments clés qui vont stimuler un essor plus rapide de l’économie des énergies renouvelables aux États-Unis.
L’objectif de l’Alliance pour l’industrie solaire photovoltaïque, lancée officiellement le 9 décembre, est de relocaliser en Europe une chaîne de valeur dans les technologies de fabrication des produits et composants photovoltaïques, afin de lutter contre la dépendance aux approvisionnements chinois.
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