Après deux ans d’attente, la première centrale solaire flottante de Tunisie s’élève enfin au-dessus des eaux. Inaugurée le 25 juin dernier, cette installation vise à évaluer le potentiel de cette technologie pour préparer un développement plus important sur le continent africain.
L’Agence marocaine pour l’énergie durable recherche des contractants EPC pour la construction de sept parcs solaires répartis dans différentes régions du pays.
Fortement impactées par la hausse du prix de l’énergie, les collectivités locales ne peuvent pourtant que difficilement accéder à des contrats d’achat d’électricité verte à long terme (PPA) en l’état actuel du droit. La FNCCR a étudié les divers montages contractuels qui permettraient aux acteurs publics de mettre en oeuvre ce type de contrat et a formulé des propositions d’avenants réglementaires.
Le fabricant tunisien de modules a déclaré que son produit est basé sur des cellules solaires dopées au gallium de type p et qu’il convient aux applications résidentielles et commerciales. Le panneau est disponible en neuf versions avec une puissance nominale allant jusqu’à 505 W et un rendement allant jusqu’à 21,44 %.
La nouvelle réglementation kényane en matière de facturation nette s’appliquera aux systèmes photovoltaïques d’une taille maximale de 1 MW.
Les centrales solaires seront localisées à Bohicon (15 MW), Parakou (15 MW), Djougou (10 MW) et Natitingou (10 MW) et leur réalisation a été confiée à GreenYellow et Egnon Consulting à l’issue d’un appel d’offres appuyé par le programme de développement économique américain Millenium Challenge Account Bénin II.
Selon l’IPP, le parc de 131 MWc est l’un des premiers projets d’énergie renouvelable d’Ouzbékistan structurés par un producteur indépendant d’électricité.
Avec cette acquisition, la filiale de Natixis se dote de nouvelle capacité d’investissement avec l’objectif de lancer un fonds de financement en dettes de l’énergie solaire qui sera doté d’une capacité d’investissement de 500 millions de dollars au travers d’environ 70 projets répartis en Afrique, en Asie et en Amérique Latine.
Pour un investissement de 16 millions d’euros, les quatre sites seront construits sur des installations de stockage de déchets non dangereux (ISDND) afin de valoriser leur usage, tout en poursuivant leur post-exploitation. Leur développement est assuré par Valtom Energie Solaire, partenariat entre le Syndicat de valorisation et de traitement des déchets ménagers du Puy de Dôme et du Nord de la Haute Loire (Valtom) et la société Sergies.
Paru au Journal officiel, le « décret n° 2022-970 » simplifie les évaluations environnementales des projets solaires. Ne seront plus soumis les projets au sol inférieurs à 300 kW, et au cas par cas les installations de moins d’1MW. Les ombrières solaire sont également officiellement dispensées d’évaluation.
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