L’installation est alimentée par un réseau de panneaux photovoltaïques capable de fournir jusqu’à 2000 mètres cubes d’eau par jour et a été développée dans le cadre du PEDEC, un programme qui vise à promouvoir les énergies renouvelables et notamment l’énergie solaire photovoltaïque, pour créer des emplois dans les zones rurales.
SolarJuice Technology a démarré la production de ses nouveaux modules solaires dans une usine rénovée de Sunergy PV à Sacramento, en Californie. Ces nouvelles lignes portent à 1,1 GW la capacité de production de sa maison mère SPI.
SolarPower Europe estime que plus de 1 TW d’énergie photovoltaïque pourrait être installé en Europe d’ici à 2030 pour soutenir l’abandon progressif des approvisionnements en gaz russe. La commissaire européenne à l’énergie, Kadri Simson, a même utilisé une célèbre citation du Premier ministre italien Mario Draghi pour souligner sa détermination à développer les capacités de production de panneaux et de modules sur le continent.
Le candidat du parti communiste mise sur la rénovation énergétique, les circuits courts et le développement des alternatives de transports pour limiter les émissions carbones – même si sur ce dernier point, la sortie des énergies fossiles n’est pas mentionnée. Pour soutenir la production électrique de manière à atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, Fabien Roussel entend relancer le développement nucléaire (6 nouveaux EPR) et évoque, sans chiffrer, le développement des EnR avec une emphase sur l’hydraulique.
Pour Marine Le Pen, candidate du Rassemblement national (RN), le développement du photovoltaïque devrait faire l’objet d’un moratoire, tandis que les parcs éoliens seront démantelés. Pour garantir une énergie décarbonée et redonner du pouvoir d’achat aux Français, son programme énergétique passe par la fin des subventions dans les EnR, une relance du nucléaire et de l’hydroélectricité et la recherche dans l’hydrogène pour la mobilité.
La candidate du Parti socialiste veut atteindre 100 % de ressources renouvelables dans le mix énergétique « aussi rapidement que possible » et promet des mesures en faveur de la finance verte. Mais son programme reste très vague sur le rythme de déploiement des nouvelles capacités et les investissements.
Ce financement européen sur trois ans servira à amorcer trois axes d’études : préfigurer des rénovations énergétiques globales sur 240 bâtiments publics pour un gain énergétique minimal de 40 %, développer des projets de production d’électricité solaire et de chaleur/froid pour plus de 200 bâtiments et étudier le montage d’un dispositif financier innovant.
Les autorités croates prévoient de mettre aux enchères 300 MW d’énergie photovoltaïque, 300 MW d’énergie éolienne, 8 MW de biomasse et de biogaz, 4 MW de petite hydroélectricité et 10 MW d’énergie géothermique.
Poursuivant sa stratégie de développement photovoltaïque sur son réseau, la Central Electric Board (CEB) de l’île Maurice va allouer 10 MW pour développer des installations solaires destinées à alimenter les bornes de recharges VE des entreprises.
Le programme énergétique du candidat de la France Insoumise est clair : un mix électrique à 100% d’énergies renouvelables d’ici 2050 et une sortie du nucléaire et des énergies fossiles. La feuille de route du candidat est assez bien détaillée et reprend quasi intégralement les prérogatives de La Stratégie Nationale Bas-Carbone (SNBC) qui vise à atteindre la neutralité carbone en 2050. Le programme intègre une baisse de 65 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030 en mettant à profit les scénarios NegaWatt et RTE pour combiner transition, sobriété et efficacité énergétique.
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