L’objectif de production est d’au moins 400 kg d’hydrogène par jour dès fin 2024 pour l’alimentation d’autobus, autocars, bennes à ordures ménagères et poids lourds. Afin de maîtriser les coûts de production, des installations solaires permettront de couvrir un besoin de près de 7 GWh d’électricité renouvelable par an.
Au lieu de mobiliser son abondant potentiel d’énergie renouvelable bon marché pour produire du gaz destiné à alimenter les consommateurs industriels d’Europe et d’ailleurs, l’Afrique pourrait attirer les secteurs manufacturiers lourds concernés, tels que la sidérurgie, la métallurgie, l’agriculture et la pêche.
Le géant français de l’énergie Engie a mis au point une méthode pour modéliser la variabilité des installations photovoltaïques par fonction de transfert. Ses chercheurs ont affirmé que la nouvelle approche permet de ne pas surestimer le coût nivelé de l’hydrogène lorsqu’il est produit à partir d’un électrolyseur alcalin alimenté par des systèmes PV hors réseau.
Hyphen Hydrogen Energy, une coentreprise du producteur d’électricité allemand Enertrag et du fonds suisse Principle Capital, a été sélectionnée à la suite de l’AO du gouvernement namibien pour produire 300 000 tonnes métriques d’hydrogène vert par an dans le pays. Le projet inclut la mise en oeuvre de 5 GW de capacité EnR d’ici 2030, dont 2 GW devraient entrer en opération d’ici 2026. La part du solaire dans ce projet de 9,4 milliards de dollars américains n’a pas encore été précisée.
Plus le marché du photovoltaïque gagne en maturité, plus les investisseurs remontent la chaîne de valeur et cherchent à acquérir des projets en phase de pré-construction. Olivier Crepon, directeur général du cabinet d’ingénierie Skyray, s’est entretenu avec pv magazine France sur l’influence de ce nouveau modèle sur la conception et la construction des parcs solaires.
Le producteur portugais, actif sur 25 marchés internationaux, relève ainsi son précédent objectif qui était d’investir dans une capacité d’électrolyseurs à hydrogène de 250 MW d’ici à 2025.
Près de deux ans après l’abandon du projet existant, Arkolia Energies revient avec de nouveaux scénarios pour construire la centrale géante Solarzac sur un site protégé de la commune du Cros, en Occitanie. L’énergéticien lance une consultation publique pour mettre sur pied un nouveau projet solaire au sol, plus petit (entre 150 et 200 MW selon Arkolia) et doublé d’une usine de production d’hydrogène vert – pour remplacer le centre de production de méthane initialement prévu.
Le système GEH2 de 100 kVa est équipé de piles à combustible fabriquées par le partenaire de EODev, Toyota. Sa durée de vie est garantie pour deux ans ou 15 000 heures.
Cette semaine, les prix de l’hydrogène ont atteint de nouveaux sommets, en raison de la hausse simultanée des prix du gaz naturel et de l’électricité. Ailleurs, de nouveaux projets sont planifiés, tels que la production d’hydrogène vert dans une brasserie britannique et la construction par Ineos d’un électrolyseur de 100 MW en Allemagne, la planification de moteurs à hydrogène par les fabricants de machines Rolls Royce et JCB, ainsi que de nouveaux accords d’investissement signés en Belgique, en Suède et au Kazakhstan.
Le système a des dimensions de 834×417×1 766 mm et pèse 205 kg, panneau de conception compris. Il atteint un rendement électrique de 56 % et peut être connecté à une unité de stockage d’eau chaude.
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