Plusieurs entreprises françaises du secteur de l’électrification rurale en Afrique se sont réunies pour échanger sur les solutions de valorisation des déchets issus de l’industrie solaire. Organisée par le fabricant de produits solaires Lagazel, l’initiative s’incrit dans le projet de réduction des déchets de l’industrie solaire mis en œuvre par la PME française au Burkina Faso, en partenariat avec le CEA.
La Commission européenne a autorisé un soutien public pouvant aller jusqu’à 5,4 milliards d’euros octroyé par quinze États membres pour un projet important d’intérêt européen commun (IPCEI) dans la chaîne de valeur de la technologie de l’hydrogène. 8,8 milliards d’euros supplémentaires d’investissements privés pourront être également mobilisés. 41 projets proposés par 35 entreprises, dont 10 françaises, ont été retenus.
La société d’investissement spécialisé dans le financement de projets durables Persistent Energy Capital vient d’annoncer une levée de fonds de 10 millions de dollars (9,9 millions d’euros) auprès d’un groupe d’investisseurs parmi lesquels Kyuden International Corporation et FSD Africa Investments. L’enveloppe sera dédiée au financement en capital risque d’entreprises de mobilité verte et d’énergie propre en Afrique.
QOS Energy bénéficiera d’un soutien sur ses capacités de R&D et accélèrera son développement sur le secteur des actifs à grande échelle et sur les marchés asiatique et américain. De son côté, Envision digital s’ouvre au secteur des centrales de petite et moyenne tailles.
Solar Cloth développe des modules photovoltaïques flexibles à partir de cellules CIGS (cuivre, indium, gallium et sélénium), sans verre et présentant une emprunte carbone près de 50 % inférieur au silicium, selon son président-fondateur Alain Janet avec qui pv magazine France s’est entretenu. L’occasion aussi de faire le point sur le projet de création d’une ligne de production de cellules CIGS en France en 2023 et les contrats de la société sur des applications innovantes en VIPV et en agrivoltaïsme notamment.
Les développeurs sont en train de tirer leur épingle du jeu dans les contrats d’achat d’électricité grâce à l’envolée des prix de gros de l’électricité, qui leur permet de vendre leur énergie solaire et éolienne sur le marché libre.
Le Private Infrastructure Development Group (PIDG) a récemment pris un engagement non contraignant à Bruxelles pour fournir un financement de 300 millions de dollars (298 millions d’euros) au projet qui vise à développer 10 GW d’énergie solaire et de stockage dans les 11 pays de la région du Sahel en Afrique.
Cette opération, qui consiste à stocker et à échanger des actifs numériques sur la Blockchain, permet de sécuriser et de faciliter le financement de plus petits projets d’énergie renouvelable en offrant aux investisseurs des opportunités de regroupement dynamiques.
Le financement de 44,5 millions d’euros a été réalisé auprès de trois banques, ING, Rabobank et UniCredit, et porte sur un parc de près de 50 MWc en Andalousie et de deux centrales de 15 MWc chacune, dans le centre et le nord du pays.
Le nouveau rapport de l’AIE montre qu’en orientant les investissements liés à la construction de nouveaux terminaux GNL (25 milliards de dollars par an) vers les EnR une énergie moderne et abordable pourrait être disponible pour tous les habitants d’Afrique d’ici la fin de cette décennie. L’AIE fait aussi le point sur le potentiel de l’hydrogène vert, de l’exploitation des matériaux critiques et sur le déploiement du photovoltaïque (sur le réseau et off-grid) sur le continent.
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