Difficile aujourd’hui de parler de l’actualité en passant sous silence les impacts du Covid-19 sur notre filière… La crise devrait bouleverser durablement l’ensemble de notre économie, mais pourrait être une formidable opportunité pour repenser collectivement notre modèle et aller vers une double « résilience », économique et environnementale, consistant à ne plus dépendre de trafics maritimes et aériens d’hommes et de marchandises devenus incontrôlables et redévelopper les circuits courts.
Par un nouvel arrêté publié dans le Journal officiel aujourd’hui, le ministère de la Transition écologique et solidaire a gelé les tarifs d’achat et primes pour les installations de moins de 100 kWc dont la demande de raccordement est effectuée au deuxième trimestre 2020. Ces tarifs sont identiques à ceux du trimestre précédent.
Quelque 21 projets d’énergie renouvelable ont été attribués par New York, avec 1 278 MW de nouvelles capacités attribuées, dont 17 projets solaire, pour 1 090 MW. Le prix moyen enregistré est de 18,59 $/MWh pour l’ensemble des projets.
La DGEC a programmé les prochaines périodes des appels d’offres photovoltaïques. La filière photovoltaïque doit conserver un certain dynamisme, déclare Xavier Daval, le président de la Commission solaire du Syndicat des énergies renouvelables.
Les chantiers photovoltaïques doivent-ils et peuvent-ils reprendre ? Depuis quelques jours, la filière solaire fait face à un discours politique discordant. Franc Raffalli, le président du Groupement des métiers du photovoltaïque de la Fédération française du Bâtiment (GMPV-FFB) s’est entretenu avec pv magazine sur l’impact du coronavirus sur la branche.
Depuis début mars, le caractère expérimental de l’autoconsommation collective n’est plus mentionné dans l’article du Code de l’énergie. Le dispositif est désormais pérenne.
Selon le lobby du solaire européen, l’agriculture locale et l’énergie solaire sont les moteurs d’une économie européenne durable. Le groupe de travail, mené par le producteur indépendant d’énergie photovoltaïque, se fixe pour objectif de placer l’agrivoltaïsme en tête de l’agenda de la politique agricole européenne, et d’établir une norme mondiale pour cette application solaire.
Alors que l’énergie photovoltaïque s’impose progressivement sous d’autres latitudes, elle doit faire la démonstration de sa pertinence chez nous, dans un système électrique français qui fonctionne bien et qui reste peu carboné. La filière photovoltaïque fait face à nombre de préjugés et sa décrédibilisation semble être le passe-temps de quelques conservateurs du système énergétique actuel qui passent outre toute rigueur scientifique. Notre activité de représentants de la filière consiste donc à démonter autant que possible les idées reçues contre l’énergie photovoltaïque. Petit florilège, hélas non exhaustif, des poncifs erronés auxquels notre filière doit faire face.
Le 11 février 2020, a été publiée au Journal officiel la loi n° 2020-105 du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire. Cette loi tend à modifier en profondeur l’approche des enjeux relatifs à la gestion des déchets. Comme de nombreuses autres filières, celle de la gestion de la fin de vie des panneaux photovoltaïques va évoluer.
Le groupe d’intérêt SolarPower Europe a toutefois salué l’initiative comme un pas dans la bonne direction, notamment parce qu’elle envisage de créer des alliances portant sur les industries à faibles émissions de carbone. Le Parlement européen va maintenant examiner les grandes lignes de ce projet.
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