Les deux onduleurs triphasés disposent de deux régulateurs de point de puissance maximale et de tensions d’entrée comprises entre 200 et 1 000 V. Le plus petit appareil a un rendement de 98,3 % et le plus grand de 98,5 %.
L’institut de recherche allemand Fraunhofer ISE a comparé les émissions de CO2 des modules solaires verre-verre fabriqués en Allemagne, dans l’UE et en Chine, et estiment qu’ils permettent une réduction supplémentaire des émissions allant de 7,5 à 12,5 % par rapport aux modules PV avec backsheet.
L’ensemble se compose d’un bâtiment de production de panneaux solaires bi-verre, d’une ligne de montage final du système de stockage solaire Solarwatt Battery flex et d’un troisième site de production de cellules de batterie, exploité par l’équipementier automobile Webasto.
Dans le cadre du projet Horizon 2020 Highlite, le CEA à l’INES a développé la technologie shingle appliquée aux cellules solaires hétérojonction hautes performances (HJT) et modules haute densité et forte puissance pour le marché des toitures. Selon le centre de R&D, la voie est donc ouverte pour l’industrialisation de cette technologie.
Le plan d’investissement de 1,28 milliard de dollars comprend une augmentation de la capacité de production de 3,1 GW en Corée du Sud, où la capacité de production de modules solaires de la société devrait atteindre 7,6 GW d’ici 2025.
Le nouveau hall permettra la réalisation d’essais de compatibilité électromagnétique (CEM) pour des onduleurs et des systèmes de forte puissance électrique jusqu’à 5 mégawatts.
Les trois fabricants chinois de panneaux PV sont parvenus à un accord sur la taille du module et l’espacement des trous de montage.
Reliance Industries et REC Solar, basées à Mumbai, ont refusé de commenter les rumeurs selon lesquelles la société indienne pourrait acquérir le fabricant de modules photovoltaïques, dans le cadre d’une transaction potentielle que les médias indiens ont déjà évaluée entre 1 et 1,2 milliard de dollars. L’industriel norvégien a en projet la construction d’une usine de modules de 4 GW en France.
La cellule solaire a été fabriquée avec des cristaux qui ont été cultivés directement sur des substrats d’oxyde d’indium et d’étain (ITO) recouverts d’une couche de transport de trous (HTL). Ces substrats ont une épaisseur contrôlée de quelques dizaines de micromètres et une surface de quelques dizaines de mm2. L’appareil a montré un rendement de 17,8 %, une tension en circuit ouvert de 1,08 V et un facteur de remplissage de 78,6 %.
Le panneau Tiger Neo a une efficacité de conversion de puissance allant jusqu’à 22,1 % et un coefficient de température de -0,30 % par degré Celsius. Le produit est composé de plaquettes de 182 mm, de cellules semi-coupées et a une puissance de sortie allant de 590 à 620 W.
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