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France

La Ville de Paris lance un fonds d’investissement pour les projets sociaux et environnementaux

Le fonds mènera son premier tour de table d’ici fin 2022 pour commencer à investir en 2023 dans des entreprises à impact social et environnemental. Avec une taille cible de 10 millions d’euros, Paris Fonds ESS entend investir dans une quarantaine de jeunes pousses de l’économie sociale et solidaire (ESS) parisienne.

L’acteur de la semaine : Elum Energy et les systèmes de contrôle pour optimiser les centrales hybrides

Les contrôleurs d’Elum Energy s’intègrent aux centrales existantes ou en construction pour optimiser la production électrique et le stockage. Initialement développées sur des projets C&I en réseau instable ou hors réseau voulant intégrer du solaire aux groupes électrogènes, les technologies de la société se sont étendues au stockage et à la gestion d’énergie. L’entreprise vise désormais les centrales à grande échelle pour permettre aux développeurs de proposer des services réseaux.

Inauguration d’une boucle d’autoconsommation collective autour d’un parc au sol de 250 kWc

Portée par la coopérative Enercoop Midi-Pyrénées, la centrale photovoltaïque de Pousse-Pisse à Carlus-le-Séquestre (Tarn) produit annuellement 325 MWh, qui sont consommés dans un rayon de 2 km par des particuliers et des commerçants.

Début de consultation pour le projet de gigafactory de Verkor à Dunkerque

La consultation portera sur les enjeux du projet de Verkor qui prévoit d’ouvrir une usine de production de cellules et modules de batteries électriques à grande échelle dans la zone Grandes Industries (ZGI) du Grand Port Maritime de Dunkerque à Bourbourg. A l’issue du processus qui aura lieu du 8 juin au 22 juillet prochain, les maîtres d’ouvrages devront répondre aux contributions, demandes et recommandations dans un délai de deux mois.

Quid du secrétariat général à la planification écologique annoncé par la Première ministre

Si le gouvernement actuel restait en place au lendemain des élections législatives de juin, il serait ainsi doté d’un organe chargé de coordonner l’élaboration des stratégies nationales en matière de climat, d’énergie, de biodiversité et d’économie circulaire. C’est Antoine Pellion, un proche d’Emmanuel Macron et un ancien d’Enedis, d’Areva et de Carrefour, qui a été nommé Secrétaire général à la Planification écologique.

Orion Energies collecte 1 M€ pour la construction de 70 projets solaires en toiture

L’opération menée par le développeur et exploitant solaire du 24 mai au 28 juin contribuera au financement d’un portefeuille de 70 centrales photovoltaïques pour une puissance totale de 9,2 MWc, dont 400 kWc sont déjà en service.

CNR crée une filiale dédiée au solaire dans la vallée du Rhône

L’ambition de la filiale, baptisée Solarhona, est de déployer 1 000 MWc supplémentaires d’ici 2030 dans les territoires du sillon rhodanien, en priorisant les projets photovoltaïques de petite taille sur les toitures de bâtiments, les ombrières de parking ainsi que les petites surfaces au sol et plans d’eau.

Lhyfe s’introduit en bourse et vise 200 MW de capacité de production d’H2 vert d’ici 2026

Le producteur nantais d’hydrogène vert a annoncé le succès de son introduction en bourse lui permettant de réaliser une augmentation de capital d’environ 110 millions d’euros (qui pourrait encore évoluer d’ici la stabilisation de l’opération au 17 juin 2022). Ce faisant, Lhyfe entend soutenir son développement qui vise à atteindre une capacité installée totale de 55 MW d’ici 2024 et de 200 MW d’ici 2026.

Enerplan félicite Agnès Pannier-Runacher, nouvelle Ministre de la Transition Énergétique

Suite à la nomination de Agnès Pannier-Runacher au Ministère de la Transition énergétique (qui remplace le Ministère de la Transition écologique), le syndicat des professionnels de l’énergie solaire rappelle à la nouvelle ministre l’urgence de bâtir une filière industrielle française.

La corrosion des réacteurs nucléaires français (re)pose la question de la politique énergétique à mener en France

Auditionné au Sénat, le président de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a assuré que la sureté des centrales nucléaires françaises n’était pas en cause mais que le maintien de la part élevée du nucléaire dans le mix électrique et la PPE à venir méritait une justification des hypothèses retenues et notamment la preuve de l’exploitation possible des réacteurs jusqu’à 60 ans. « Il ne faudrait pas que faute d’anticipation suffisante, la poursuite du fonctionnement de réacteur nucléaire soit considérée comme la variable d’ajustement d’une politique énergétique qui aurait été mal calibrée »

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