appel d’offres

Ce tarif a apparemment été soumis par le géant saoudien de l’énergie, ACWA Power, bien que celui-ci ait refusé de le confirmer à pv magazine. La deuxième offre la plus basse, à hauteur de 0,0175 $/kWh, aurait été présentée par un consortium formé par le développeur émirati Masdar, EDF et le fabricant chinois de panneaux photovoltaïques Jinko Power.

Lors de la 8ème période de l’appel d’offres (AO) pour le solaire sur toiture, le prix moyen final pour les installations de puissance entre entre 100kW et 500kW est de 97,48 €/MWh, tandis que celui des installations de 500 kW à 8 MW atteint les 86,54 €/MWh. Une réduction de prix par rapport à l’appel d’offre précédente du même type a été constaté seulement pour cette deuxième catégorie, .

L’électricité produite par la centrale « Paradise Park » est la moins chère jamais produite sur l’île. L’installation « associe des retombées économiques significatives, à travers la production de l’électricité la moins chère de l’île, à un bénéfice social indéniable », déclare Xavier Barbaro, le président-directeur général de Neoen.

Le 18 octobre prochain, Akuo inaugurera la plus puissante centrale photovoltaïque flottante d’Europe. Une campagne de financement participatif est conduite en ce moment pour ce projet, à laquelle contribue le fonds Allianz Crowdlending, géré par Eiffel Investment Group. C’est l’occasion également de revenir sur les difficultés rencontrées lors de la réalisation de la centrale, et notamment celles liées à la mise en concurrence de ce type de projet dans le cadre des appels d’offres de la Commission de régulation de l’énergie.

La semaine dernière, Voltalia finalisait l’acquisition du développeur de projets en toiture Helexia. Aujourd’hui, l’acteur international vient d’annoncer avoir remporté un projet de 10,2 MW situé dans le Haut-Rhin, dans le cadre de l’appel d’offres de Fessenheim, ainsi que la mise en service d’une centrale de 3 MW en Occitanie et la fin de la construction d’une centrale de 5 MW en Nouvelle-Aquitaine.

Un consortium composé, entre autres, de l’expert en ingénierie dans les domaines de l’énergie et des communications SPIE et du développeur Bejulo a remporté un contrat pour le développement et la construction d’une centrale photovoltaïque de 22,7 MW sur 33 hectares dans le nord du pays. Il s’agit de la « plus grande ferme solaire de Hongrie. »

La loi Énergie-Climat devrait être promulguée dans les jours à venir. Après cette étape s’ouvrira le bal des consultations pour la révision de la PPE (Programmation Pluriannuelle de l’Énergie) avec au bout espérons-le, la belle place promise à la filière photovoltaïque – 35,6 à 44,5 GW à horizon 2028 – depuis le premier projet de décret. Cette loi Énergie-Climat apporte son lot de bonnes nouvelles pour la filière (et aussi de plus anecdotiques) mais il semble nécessaire de revenir sur deux de ses dispositions qui étaient prévues depuis le groupe de travail Place au Soleil initié par Sébastien Lecornu en 2018.

Jeudi 26 septembre, la liste des projets lauréats de la première période de l’appel d’offres de Fessenheim a été dévoilée par le ministère de la Transition écologique et solidaire. Une capacité totalisant 62,8 MW a été allouée, constituée de projets au sol et en toiture, dont six développeurs ont été identifiés par le cabinet de conseil Finergreen.

Le producteur indépendant encaisse 118 millions d’euros sur la première moitié de 2019, étendant ses activités autant en France qu’à l’étranger. Son chiffre d’affaire progresse de 30%, basé en grande partie sur ses ventes soutenues d’électricité.

Les projets d’autoconsommation développés par Ora suivent un rythme accru : la société vient d’équiper la toiture d’un Super U et le siège de Seb. « Le marché est enfin prêt », déclare David Emsellem, le directeur général d’Ora. La technologie est maîtrisée, le cadre juridique est clarifié, que peut-on encore faire pour soutenir ce secteur ? David Emsellem aimerait que l’autoconsommation soit une action éligible au dispositif des certificats d’économie d’énergie.