électricité

Le consortium formé de Total et du conglomérat japonais Marubeni a été désigné lauréat de l’appel d’offres du Qatar pour la construction du projet d’Al Kharsaah Solar PV IPP Project. D’une capacité de 800 MWc, il s’agira du plus grand projet solaire de Total et du pays. Le groupe consolide ses relations avec le Qatar — dans les domaines du pétrole et du gaz — en accédant au marché des énergies renouvelables.

La SEM Enerlandes, la SEM 24 Périgord Énergies, la commune d’Escource, la société d’investissement Activent et le développeur de projets Valorem ont finalisé leur participation commune au financement du parc photovoltaïque de Mézos, dont la capacité s’élève à 34 MWc. Ces sociétés apporteront un financement de plus de deux millions d’euros. Valorem devrait mettre le parc en service en 2021.

La première centrale indienne, d’une capacité de 5,5 MWc, avait été inaugurée en 2017. Le producteur d’énergie vient de mettre en service sa seconde centrale photovoltaïque, lauréate d’un appel d’offres local et dont la capacité s’élève à 27 MWc. Avec cette centrale, la plus puissante de Technique Solaire à ce jour, le développeur offre le tarif de l’électricité solaire le plus bas de l’État indien du Maharashtra.

Selon le cabinet d’analyse IHS Markit, une nouvelle année de croissance solaire mondiale est à prévoir. Toutefois, derrière ces bons chiffres, on peut voir l’incertitude qui pèse sur les marchés de la Chine et de l’Inde, deux des marchés à la fois les plus importants et les plus grands pollueurs.

Le producteur indépendant d’énergie renouvelable a annoncé avoir émis un « Euro Private Placement Green », l’équivalent d’un placement privé permettant de diversifier les sources de financement. D’un montant de 45 millions d’euros, il servira au refinancement de certaines des centrales photovoltaïques déjà construites de Reden Solar, notamment en Amérique latine.

Depuis début décembre, le siège du groupe CVE à Marseille est approvisionné en électricité 100 % renouvelable, produite par ses propres centrales. Désormais, ses salariés peuvent également bénéficier d’une offre de fourniture d’électricité compétitive, garantissant une électricité verte et baissant le montant de leur facture de 10 %.

Ce n’est pas un scoop : en matière d’énergie photovoltaïque, la France est à la traîne avec 9 GW d’installations photovoltaïques raccordées en 2019. Surtout comparée à des pays comme l’Allemagne (48 GW) et l’Italie (19 GW) qui ont la particularité d’être… près de 40% plus petit en superficie que la France. Pourquoi évoquer ici la superficie de nos voisins bien meilleurs élèves que nous ? Parce que si l’énergie photovoltaïque prend de la place en comparaison avec les énergies conventionnelles, à l’évidence la France n’a pas l’excuse du manque de foncier pour développer l’énergie photovoltaïque au sol !

La société d’économie mixte d’Agen a lancé un appel d’offres pour des missions d’assistance à la maîtrise d’ouvrage pour le développement de centrales photovoltaïques au sol ainsi que pour des études d’impact environnemental. Le dépôt des offres est fixé au 13 janvier.

Suite à sa décision de passer de tarifs d’achat fixes à des enchères inversées pour déployer le solaire, le gouvernement vietnamien consacre les deux premières enchères pilotes au photovoltaïque flottant. Un premier appel d’offres, pour un projet pouvant atteindre 100 MW de capacité de production, aura lieu cette année.

En Autriche, le pacte de coalition entre le parti ÖVP et les Verts stipule en outre que la neutralité carbone doit être atteinte d’ici 2040. Un nouveau « super ministère » pour la protection du climat et de l’environnement ainsi que pour l’énergie et les infrastructures doit permettre de réaliser cet objectif. L’association Photovoltaic Austria considère toutefois qu’un développement du photovoltaïque encore plus important que celui prévu par le nouveau gouvernement est nécessaire pour couvrir la demande croissante d’électricité jusqu’en 2030.