Le Kenya, l’Afrique du Sud, la Namibie, l’Égypte, le Maroc et la Mauritanie ont lancé l’Africa Green Hydrogen Alliance pour favoriser la collaboration régionale afin de créer un environnement propice et durable capable de stimuler le développement de l’hydrogène vert à usage domestique et à l’exportation.
Le producteur nantais d’hydrogène vert a annoncé le succès de son introduction en bourse lui permettant de réaliser une augmentation de capital d’environ 110 millions d’euros (qui pourrait encore évoluer d’ici la stabilisation de l’opération au 17 juin 2022). Ce faisant, Lhyfe entend soutenir son développement qui vise à atteindre une capacité installée totale de 55 MW d’ici 2024 et de 200 MW d’ici 2026.
Le ministère britannique des affaires, de l’énergie et de la stratégie industrielle a publié de nouvelles recherches montrant que les fuites d’hydrogène pourraient avoir un impact indirect sur le réchauffement climatique, neutralisant en partie les efforts de réduction des émissions de dioxyde de carbone.
La filiale d’EverWatt ouvre son capital à l’EIT InnoEnergy et au groupe immobilier Idec avec l’ambition de développer une vingtaine de nouveaux projets d’hydrogène vert en France, au Portugal et en Espagne.
Le projet H2V Thionville vise à développer une gigafactory de production d’hydrogène renouvelable sur un terrain de 31 ha qui accueillera 4 unités de production de 100 MW pour produire chaque année 56 000 tonnes d’H2 et éviter 400 000 tonnes de CO2.
Très active dans la décarbonation de sa flotte automobile, la collectivité équipera quatre de ses véhicules utilitaires de la solution embarquée d’injection d’hydrogène dans les moteurs thermiques de Logikko, qui permet une réduction des émissions de gaz à effet de serre et de la consommation de carburant.
Le projet prévoit le développement de 650 MW de capacités solaire et éolienne. L’hydrogène vert alimentera notamment une installation de production d’ammoniac vert de 350 000 tonnes par an qui sera utilisé comme carburant de soutage pour le trafic maritime du canal de Suez. L’Autorité générale de la zone économique du canal de Suez (SCZONE) a récemment signé plusieurs accords d’ampleur pour devenir un pôle industriel mondial d’énergies et de carburants durables.
L’hydrogène naturel suscite l’intérêt. Parfois appelé hydrogène « or » ou « blanc », les usines qui le produisent présentent une empreinte carbone plus faible et des délais de développement plus courts que les projets tentaculaires d’hydrogène vert explique Avon McIntyre, directeur exécutif de HyTerra, une société australienne qui se lance dans le secteur.
Tous les nouveaux projets d’infrastructures devront contribuer aux objectifs climatiques de l’UE, excluant ainsi les installations basées sur le gaz naturel et les combustibles fossiles dont les financements seront éliminés et dirigés vers l’hydrogène et le captage+stockage du carbone. L’accent sera mis sur le développement de réseaux intelligents afin d’intégrer plus d’électricité renouvelable et de gaz propres dans le mix européen.
Les deux groupes ont signé une convention de partenariat portant sur la mise en œuvre de solutions de logistique et de ravitaillement en hydrogène vert, fournit par Engie, pour alimenter un système de piles à combustible H2, développé par Alstom et qui sera intégré sur des locomotives électriques.
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