France

Ces nouveaux parcs solaires, d’une capacité totale de 110 MWc, se situent en Bourgogne Franche-Comté, dans le Grand-Est, en Centre-Val de Loire, et en Auvergne-Rhône-Alpes.

L’association professionnelle Think Smartgrids et EY Parthenon publient une étude sur l’évolution du marché des smart grids en France entre 2020 et 2030. Avec une augmentation de 20% par an en moyenne sur la période, l’étude estime que ce marché atteindra 6 Md€ en 2030 et représentera 60 000 emplois à cet horizon.

Le but de ce projet de 2,15 millions d’euros est de mettre en place une installation agrivoltaïque dynamique sur les cultures fruitières emblématiques de la vallée du Rhône (pêches, abricots, cerises) et de vérifier dans quelle mesure elle peut les protéger des impacts du changement climatique. 

Cette collecte participative, via Lendosphere, est dédiée à la construction de toitures solaires représentant 5 MWc en cumulé. Avec un objectif de 1,5 million d’euros, cette campagne est la première de deux opérations qui se succèderont pour atteindre un objectif global de 3 millions d’euros.

Les quatre centrales représentent une puissance combinée totale de 37,7 MWc et permettront à l’ancienne RES France (rebaptisée Q Energy récemment) de développer son portefeuille photovoltaïque en France. Au rappel, la société évolue dans le giron du géant coréen Hanwha Solutions depuis 2021.

Neoen donne des précisions quant à la réalisation des sept projets solaires, lauréats du dernier appel d’offres gouvernemental pour les centrales solaires au sol. Les parcs PV seront construits en Nouvelle-Aquitaine, en Occitanie et dans le Grand Est avec des capacités allant de 4,7 à 30 MWc. Ils seront mises en service entre 2024 et 2025.

Les deux acteurs identifieront ensemble les vergers d’altitude susceptibles d’accueillir des projets d’agrivoltaïsme, avec l’objectif de développer 5 à 10 MW dans la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur.

Le village d’environ 430 habitants sera actionnaire de la société « Garein Energie », à hauteur de 10 %. Il contribuera au financement des études et bénéficiera des retombées économiques à proportion de son investissement, ainsi que d’une participation à la gouvernance du projet.

Le remplacement des 2 596 panneaux par des modules photovoltaïques deux fois plus puissants, ainsi que le changement du transformateur et des onduleurs, permettra à la centrale de produire jusqu’à 100 000 kWh de plus par an.

Pour soutenir ses perspectives de croissance continue pour les années à venir, le gestionnaire du réseau de distribution d’électricité recherche notamment des électrotechniciens, des ingénieurs en cybersécurité et des chargés d’affaires raccordement.