L’opération, qui permettra à Eiffage d’« accélérer son déploiement dans les énergies renouvelables », devrait intervenir au cours du 2ème semestre 2022. Le solde du capital serait conservé par le fondateur de Sun’R, Antoine Nogier, et l’équipe de management.
Accompagnés par le développeur GLHD (Green LightHouse Développement), les projets représenterait une puissance installée de près de 600 MWc, soit environ 1% de la consommation énergétique régionale qui s’est fixé un objectif de 32 % à l’horizon 2030.
Les deux entreprises ont inauguré le premier démonstrateur agrivoltaïque d’Île de France à Valpuiseaux au début de l’été. L’installation de 111 kWc a été déployée une surface de 5000 mètres carrés pour étudier, notamment, l’impact de la présence de panneaux solaires sur la production agricole.
Au Bangladesh, des scientifiques ont cherché à déterminer le potentiel de l’agrivoltaïsme dans les rizières. Pour ce faire, ils ont analysé la viabilité économique de projets agrivoltaïques à modules bifaciaux au Vietnam, au Bangladesh, en Chine, en Égypte, au Brésil et en Inde.
Ces directives ont pour but de clarifier les caractéristiques et les prérequis permettant de classifier un système photovoltaïque dans la catégorie « agrivoltaïque ». Elles concernent la conception, la construction et l’exploitation des installations et distinguent les systèmes basiques proposant seulement de coupler la production d’énergie et la production agricole et les systèmes avancés, qui pourront bénéficier d’incitations.
Des chercheurs allemands ont mené une étude sur la manière dont les systèmes photovoltaïques verticaux pourraient être en mesure de fournir davantage d’électricité au réseau en période de forte demande, avec l’avantage d’être mieux intégrés aux activités agricoles que les centrales au sol classiques.
Compte-tenu de la proximité entre les exploitations agricoles et les autoroutes à certains endroits, des chercheurs américains assurent que l’installation de parcs agrivoltaïques pour alimenter des stations de recharge des véhicules électriques permettrait de réduire à la fois les émissions de CO2 et l’inquiétde des conducteurs face au risque de ne pas trouver de station de recharge à temps.
L’objectif des deux acteurs sera de mettre en place des projets d’agrivoltaïsme, avec les synergies associées, tout en assurant un cadre de développement rigoureux : larges démarches de participation et de concertation, études d’impact environnementales et techniques, études et conventions agricoles, modèles économiques non subventionnés…
35 agriculteurs des Landes ont décidé de changer leurs pratiques agricoles pour s’adapter à la faible qualité de l’eau de leur nappe phréatique. Pour compenser la baisse de rendement, ils ont opté pour une solution agrivoltaïque. Les revenus tirés de la location des terrains seront mutualisés et reversés à tous les agriculteurs de l’association. pv magazine France s’est entretenu avec Jean-Michel Lamothe pour qu’il nous parle du modèle économique de ce projet.
Composé de deux structures équipées de panneaux solaires agrivoltaïques et comprenant 52 modules solaires bifaciaux, le site accueille, depuis le mois de mars 2022, des cultures de houblon. Un suivi du rendement et des caractéristiques climatiques est prévu sur deux ans et le projet vise à terme une superficie de 35 hectares, pour une puissance potentielle de 20 MWc.
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