La Commission européenne vient d’autoriser les aides d’État pour le projet dit « European Battery Alliance », plus connu sous l’appellation d’« Airbus des batteries », visant à favoriser une filière de batteries ion-lithium dans l’Union européenne.
Le 18 octobre s’est tenu le Belgian Solar Day, lors duquel se sont rassemblés plus de 240 acteurs du solaire issus des secteurs de la recherche, de l’industrie et de la politique. Ils appellent les autorités publiques belges à revoir les ambitions de leur Plan National Énergie-Climat à la hausse.
Une étude du secteur européen de l’électricité publiée récemment suggère que le développement des énergies renouvelables reste bloqué sur le continent. Malgré certaines différences régionales, la politique de l’Union européenne privilégie généralement le gaz aux ressources renouvelables pour remplacer le charbon. Et les récents commentaires de Kadri Simson, la commissaire européenne à l’énergie nouvellement investie, n’offrent que peu d’espoir de changement.
Les scientifiques ont mis au point une méthode géospatiale à haute résolution pour évaluer le potentiel solaire de tous les bâtiments de l’Union européenne. Conclusion : les systèmes photovoltaïques en toiture pourraient couvrir un quart des besoins en électricité de la région. Les chercheurs estiment que la parité réseau pour les systèmes photovoltaïques en toiture a déjà été atteinte en dehors des États membres de l’est de l’UE, où les prix de l’électricité provenant de combustibles fossiles sont bas.
La loi énergie climat soutiendra l’autoconsommation collective, l’ouverture de terrains pour des centrales solaires en bordure de route et le recouvrement d’au moins 30% de la surface de nouveaux bâtiments commerciaux par des panneaux solaires ou des espaces verts.
D’ici l’été 2020, le département du Haut-Rhin mettra le premier réacteur nucléaire construit en France hors service et accueillera 300 MW de production photovoltaïque.
La ministre de la transition écologique espagnole, Teresa Ribera, a présidé à Madrid le 9 septembre 2018 une réunion entre les gouvernements du Portugal, de la France et de l’Espagne et la Commission européenne, afin de renforcer et de créer de nouvelles formes de coopération interrégionale qui soutiennent les objectifs de décarbonisation de chacun des états transfrontaliers dans leurs plans énergétiques et climatiques respectifs. Les interconnexions et le stockage sont quelques-uns des problèmes clés de ce nouveau modèle, ainsi que la flexibilisation et la numérisation des réseaux.
La Commission européenne a publié son évaluation des plans nationaux liés au climat et à la transition énergétique pour la période 2021-2030 de chacun des 28 États membres. Si elle reconnait que des efforts ont été faits dans l’ensemble, elle pousse tout de même à aller plus loin pour pouvoir atteindre les objectifs communs définis par l’Accord de Paris. Les ambitions de la France sont cependant plutôt satisfaisantes.
Dans son dernier audit, la Cour des comptes européenne a déclaré qu’au moins la moitié des pays membres de l’UE ne seraient pas en mesure d’atteindre leurs objectifs respectifs pour les énergies renouvelables à l’horizon 2020. Parmi ces pays : la France, les Pays-Bas, l’Irlande, la Pologne et le Royaume-Uni. En France, la part des énergies renouvelables doit augmenter de 6,7 % pour atteindre ses objectifs. Les experts recommandent d’encourage la participation des citoyens et d’augmenter le nombre d’enchères d’énergies renouvelables pour accroître les investissements et augmenter les volumes dans le secteur des énergies propres au sein de l’UE.
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