Nouvelle gouvernance, consolidation de sa vision de l’agrivoltaïsme au regard du nouveau cadre législatif, orientations stratégiques… A l’occasion d’un séminaire de ses administrateurs, France Agrivoltaïsme a dévoilé sa vision pour mieux accompagner la montée en puissance de la filière agrivoltaïque.
De nouvelles recherches menées en Belgique montrent que les installations agrivoltaïques équipées de suiveurs sont nettement plus performantes que les projets à structure fixe. Les scientifiques ont constaté que les projets équipés de suiveurs atteignaient un LCOE de 0,077 €/kWh, tandis que les installations dotées de structures fixes affichaient un LCOE de 0,10 €/kWh.
Après un premier projet agrivoltaïque installé par Sun’Agri en 2022 et de premiers résultats jugés probants, l’exploitation Clair Fruits a fait le choix d’installer un second parc agrivoltaïque sur trois hectares de cerisiers. 27 variétés seront produites et un suivi spécifique sera mis en place afin d’évaluer les rendements, la couleur des fruits ou encore leurs grosseurs.
Le Conseil d’État italien a publié de nouvelles règles pour combler un certain nombre de lacunes réglementaires, selon l’avocat Andrea Sticchi Damiani, qui a récemment remporté deux affaires liées à des projets agrivoltaïques. Dans les deux cas, le Conseil a confirmé que les installations agrivoltaïques sont distinctes des installations photovoltaïques conventionnelles au sol.
Le producteur d’électricité renouvelable a l’ambition de développer 500 MW de fermes agrivoltaïques par an à l’horizon 2025. Pour l’heure, il dispose de 300 MW à différents stades de développement, qui seront mis en service à partir de 2025.
Une étude montre l’importance de calculer les effets de l’ombrage créé par les panneaux photovoltaïques sur le rayonnement photosynthétiquement actif (PAR) au niveau du sol, ce qui est crucial pour évaluer le rendement des cultures dans les projets agrivoltaïques. La modélisation proposée prend en compte différentes typologies de projets agrivoltaïques sur plusieurs sites en Europe.
Dans les Bouches-du-Rhône et la Drôme, les analyses sur des pommiers, cerisiers et nectariniers montrent une baisse de températures jusqu’à 3,8 °C, une hausse de l’humidité relative jusqu’à 14 % et une diminution de l’irrigation jusqu’à 30 % lors des fortes chaleurs, par rapport aux cultures non protégées par des dispositifs agrivoltaïques.
L’agrivoltaïsme est une figure de proue des stratégies de développement solaire européennes et la France se démarque par l’appétence de ses investisseurs industriels et institutionnels sur ce segment. Pour pv magazine, le cabinet d’analyse des énergies renouvelables Enerdatics a analysé le paysage et les dynamiques de l’agrivoltaïsme en France ainsi que son potentiel de développement et d’investissements, avec des réserves liées à la réglementation et à la durabilité de l’agriculture.
Des institutions scientifiques italiennes ont publié un nouveau référentiel sur l’agrivoltaïsme axé spécifiquement sur la production d’électricité, la production agricole et la préservation des paysages.
Des chercheurs de l’Université de l’Illinois ont mené une enquête, couplée à des travaux de recherche antérieurs, sur les investissements et les revenus en agrivoltaïsme appliqué à l’élevage. Leur rapport se penche également sur des plans d’affaires complexes couplant photovoltaïsme et élevage dans de grandes centrales photovoltaïques.
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